par Nature & Animaux : Ces oiseaux qui nous reviennent d’Afrique dans le Sud Ouest
Les Grues Cendrées
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En migration vers les steppes nordiques dès la fin février, les grues cendrées
annoncent la venue du printemps bien avant de nombreuses espèces
africaines. Leur « Krrrou » trompettent et nous fait lever la tête. Les
vagues en V se succèdent et nous offrent un des plus beaux spectacles de
la Nature. Elles nous viennent d’Afrique du nord, mais surtout
d’Espagne, du Portugal et nombreuses sont celles qui font halte l’hiver
dans le Sud-ouest de la France.
Le rouge-queue noir
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Il est un des premiers à réapparaître dans nos jardins, dès la fin
février. Insectivore et donc particulièrement utile. Il utilise
volontiers, comme les mésanges bleues et charbonnières, les nichoirs
faits de la main de l’homme.
Le rouge-queue noir à front blanc
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Farouche et discret,le plumage du mâle en fait un de nos plus beaux
passereaux. Après avoir traversé le Sahara, la Méditerranée, cet
insectivore apparaît à la mi-avril dans les Landes. Souvent aperçu, sur
les poteaux et piquets de clôture situés en bordure de clairière ou de
chênaie.
Le rouge-gorge
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Plutôt sédentaire, mais migrateur dans le nord, son chant printanier est
un des plus beaux de nos jardins. Incontournable compagnon, il n’hésite
pas à venir manger dans la main de l’homme par grand froid.
L’hirondelle de
cheminée
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Proche de l’homme en construisant son nid dans nos habitations, elle
est, dans l’esprit collectif, une annonciatrice du printemps. Ses
effectifs sont, hélas, en constante régression.
Le coucou
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En mars, son chant nous invite à penser au début du printemps ; il est
certainement avec l’hirondelle, l’oiseau synonyme de renouveau
printanier. On l’entend souvent sans l’apercevoir.
Les dessous du
coucou
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Une jolie variation du blanc au noir.
La huppe fasciée
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Hivernant en Afrique, elle nous revient dès la mi-mars, voire début
avril dans les Landes. Un plumage d’une exceptionnelle beauté.
Le repas de la huppe fasciée
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Elle se nourrit de vers, de larves de coléoptères et affectionnent les
vieilles chênaies de plus en plus rares dans les Landes. Il n’est pas
rare de la voir en quête de vers dans les pelouses de jardins, le matin.
Portrait de la huppe
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Son long bec sensible lui permet de capturer larves et insectes dans la
terre.
Le nid de la huppe
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Elles choisissent souvent un tas de pierres ou un ancien nid de pic dans
un gros chêne. Sur la terre sablonneuse des Landes, les pierriers sont
très rares; ce couple a choisi de nidifier sous les vieilles tuiles
moussues d'une maison habitée.
Au matin
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Dès les premières lueurs de l'aube, le couple de huppes se met en chasse
de larves pour nourrir sa portée.
Le menu de la huppe
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Larves de coléoptères (lucanes, hannetons), chenilles,etc... sont au
menu de la huppe. Ici, une courtilière dont la tête a été sectionnée.
Le gobe mouche noir
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Il fait son apparition au début du mois d’avril. Insectivore, il se
positionne en lisière de bois, au-dessus des parterres fleuris en chasse
d’insectes.
Le gobe mouche noir
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Le gobe mouche noir n’hésite pas, bien que craintif, à se rapprocher des
vieilles fermes possédant un espace préservé comme une chênaie par
exemple. Ici, un de ses observatoires est une vieille charrue.
Le gobe mouche noir
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Sur un espace de chasse, il s’attribue 3 ou 4 postes d’observation et
on peut le voir se quereller parfois avec d’autres insectivores comme le
rouge-queue noir à front blanc.
Le Pic vert
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Sédentaire, le pic vert est un acteur audible du retour du printemps.
Son chant s’entend de loin.
Le pouillot
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Le pouillot véloce nous revient du sud en mars. Peu craintif, cet
insectivore est très actif et son chant printanier est mélodieux et
puissant.
La fauvette à tête noire
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Migrateur partiel, la fauvette à tête noire apparaît de nouveau en mars,
avec les premiers migrateurs africains. Ici, une femelle reconnaissable
à sa calotte rousse. Insectivore, elle est très utile et reste discrète
dans les buissons et les haies.
Milan
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Commun au bord des lacs landais, le milan noir est de retour du sud du
Sahara à la mi-mars.
Fauvette pitchou
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Difficile à observer et à approcher, la fauvette pitchou se fait
discrète dans les broussailles des landes. Début avril, on voit les
premiers couples se former le long des chemins en bordure de landes
couvertes de genêts.
Fauvette pitchou
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Le mâle de la fauvette pitchou reconnaissable avec son iris rouge-orange
et les nombreux petits points blancs sur le menton et la gorge. A la
fin de l’été, elle repart pour l’Afrique du Nord ou le sud de l’Espagne.
Pitchou
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La femelle est plus claire que le mâle. Discrète, cette espèce semble
toutefois abondante dans les Landes.
La pie grièche
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La pie-grièche écorcheur ne revient dans nos contrées qu'au mois de mai,
et prend le départ dès le mois d'août ou en septembre. Elle migre vers
l'Afrique Tropicale et d’Afrique du Sud.
La pie grièche
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Le menu de la pie-grièche écorcheur est constitué d’insectes, de
coléoptères, voire de petits lézards qu’elle empale sur une épine ou un
fil barbelé.
Le pipit
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Le pipit des arbres affectionne les landes sèches et on l’aperçoit
souvent perché au somment de jeunes pins. Cet insectivore nous revient
d'Afrique Tropicale dès fin mars.
Le torcol
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Le torcol fourmilier arrive d’Afrique fin mars début avril. Il se
nourrit de fourmis et d’insectes.
Le tarier pâtre
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On l'aperçoit dans les mêmes espaces de nidification que la fauvette
pitchou: lande constituée d'ajoncs et de jeunes pins sur lesquels le
mâle se perche pour défendre son territoire.
Femelle du tarier pâtre
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Le tarier pâtre se nourrit de coléoptères, de mouches, de fourmis,
chenilles, papillons et d'araignées. Un insectivore particulièrement
utile.
Magnifiques photos de Patrick Peralta un landais pure souche.
Les Grues Cendrées
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En migration vers les steppes nordiques dès la fin février, les grues cendrées
annoncent la venue du printemps bien avant de nombreuses espèces
africaines. Leur « Krrrou » trompettent et nous fait lever la tête. Les
vagues en V se succèdent et nous offrent un des plus beaux spectacles de
la Nature. Elles nous viennent d’Afrique du nord, mais surtout
d’Espagne, du Portugal et nombreuses sont celles qui font halte l’hiver
dans le Sud-ouest de la France.
Le rouge-queue noir
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Il est un des premiers à réapparaître dans nos jardins, dès la fin
février. Insectivore et donc particulièrement utile. Il utilise
volontiers, comme les mésanges bleues et charbonnières, les nichoirs
faits de la main de l’homme.
Le rouge-queue noir à front blanc
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Farouche et discret,le plumage du mâle en fait un de nos plus beaux
passereaux. Après avoir traversé le Sahara, la Méditerranée, cet
insectivore apparaît à la mi-avril dans les Landes. Souvent aperçu, sur
les poteaux et piquets de clôture situés en bordure de clairière ou de
chênaie.
Le rouge-gorge
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Plutôt sédentaire, mais migrateur dans le nord, son chant printanier est
un des plus beaux de nos jardins. Incontournable compagnon, il n’hésite
pas à venir manger dans la main de l’homme par grand froid.
L’hirondelle de
cheminée
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Proche de l’homme en construisant son nid dans nos habitations, elle
est, dans l’esprit collectif, une annonciatrice du printemps. Ses
effectifs sont, hélas, en constante régression.
Le coucou
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En mars, son chant nous invite à penser au début du printemps ; il est
certainement avec l’hirondelle, l’oiseau synonyme de renouveau
printanier. On l’entend souvent sans l’apercevoir.
Les dessous du
coucou
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Une jolie variation du blanc au noir.
La huppe fasciée
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Hivernant en Afrique, elle nous revient dès la mi-mars, voire début
avril dans les Landes. Un plumage d’une exceptionnelle beauté.
Le repas de la huppe fasciée
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Elle se nourrit de vers, de larves de coléoptères et affectionnent les
vieilles chênaies de plus en plus rares dans les Landes. Il n’est pas
rare de la voir en quête de vers dans les pelouses de jardins, le matin.
Portrait de la huppe
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Son long bec sensible lui permet de capturer larves et insectes dans la
terre.
Le nid de la huppe
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Elles choisissent souvent un tas de pierres ou un ancien nid de pic dans
un gros chêne. Sur la terre sablonneuse des Landes, les pierriers sont
très rares; ce couple a choisi de nidifier sous les vieilles tuiles
moussues d'une maison habitée.
Au matin
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Dès les premières lueurs de l'aube, le couple de huppes se met en chasse
de larves pour nourrir sa portée.
Le menu de la huppe
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Larves de coléoptères (lucanes, hannetons), chenilles,etc... sont au
menu de la huppe. Ici, une courtilière dont la tête a été sectionnée.
Le gobe mouche noir
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Il fait son apparition au début du mois d’avril. Insectivore, il se
positionne en lisière de bois, au-dessus des parterres fleuris en chasse
d’insectes.
Le gobe mouche noir
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Le gobe mouche noir n’hésite pas, bien que craintif, à se rapprocher des
vieilles fermes possédant un espace préservé comme une chênaie par
exemple. Ici, un de ses observatoires est une vieille charrue.
Le gobe mouche noir
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Sur un espace de chasse, il s’attribue 3 ou 4 postes d’observation et
on peut le voir se quereller parfois avec d’autres insectivores comme le
rouge-queue noir à front blanc.
Le Pic vert
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Sédentaire, le pic vert est un acteur audible du retour du printemps.
Son chant s’entend de loin.
Le pouillot
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Le pouillot véloce nous revient du sud en mars. Peu craintif, cet
insectivore est très actif et son chant printanier est mélodieux et
puissant.
La fauvette à tête noire
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Migrateur partiel, la fauvette à tête noire apparaît de nouveau en mars,
avec les premiers migrateurs africains. Ici, une femelle reconnaissable
à sa calotte rousse. Insectivore, elle est très utile et reste discrète
dans les buissons et les haies.
Milan
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Commun au bord des lacs landais, le milan noir est de retour du sud du
Sahara à la mi-mars.
Fauvette pitchou
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Difficile à observer et à approcher, la fauvette pitchou se fait
discrète dans les broussailles des landes. Début avril, on voit les
premiers couples se former le long des chemins en bordure de landes
couvertes de genêts.
Fauvette pitchou
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Le mâle de la fauvette pitchou reconnaissable avec son iris rouge-orange
et les nombreux petits points blancs sur le menton et la gorge. A la
fin de l’été, elle repart pour l’Afrique du Nord ou le sud de l’Espagne.
Pitchou
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La femelle est plus claire que le mâle. Discrète, cette espèce semble
toutefois abondante dans les Landes.
La pie grièche
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La pie-grièche écorcheur ne revient dans nos contrées qu'au mois de mai,
et prend le départ dès le mois d'août ou en septembre. Elle migre vers
l'Afrique Tropicale et d’Afrique du Sud.
La pie grièche
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Le menu de la pie-grièche écorcheur est constitué d’insectes, de
coléoptères, voire de petits lézards qu’elle empale sur une épine ou un
fil barbelé.
Le pipit
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Le pipit des arbres affectionne les landes sèches et on l’aperçoit
souvent perché au somment de jeunes pins. Cet insectivore nous revient
d'Afrique Tropicale dès fin mars.
Le torcol
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Le torcol fourmilier arrive d’Afrique fin mars début avril. Il se
nourrit de fourmis et d’insectes.
Le tarier pâtre
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On l'aperçoit dans les mêmes espaces de nidification que la fauvette
pitchou: lande constituée d'ajoncs et de jeunes pins sur lesquels le
mâle se perche pour défendre son territoire.
Femelle du tarier pâtre
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Le tarier pâtre se nourrit de coléoptères, de mouches, de fourmis,
chenilles, papillons et d'araignées. Un insectivore particulièrement
utile.
Magnifiques photos de Patrick Peralta un landais pure souche.
» oui madame !
» ça pique !!!
» C’est mathématiquement, philosophiquement idiot !
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, la cocaïne était utilisée pour traiter la dépression et les maux de dents !
» gentil toutou
» oh oui !
» bon appétit
» Le saviez-vous?La reconnaissance de soi chez les animaux
» la méprise
» oh oui !
» la dictée
» Le saviez-vous?Le détenteur du record du monde de tir à l’arc n’a pas de bras !
» heureusement qu'elle est la !
» dessous de table !
» c'est très bien
» Le saviez-vous? La plus petite guitare du monde a la taille d’un globule rouge !
» affreux !!!
» le marque-pages
» merci du conseil
» Le saviez-vous?En 2008, une plage a été volée en Jamaïque, tout le sable a été dérobé !
» coooooool
» bonne question !
» chère Dr
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, en Grande-Bretagne, une tentative de suicide était punie par pendaison