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    "J'aime ma boîte"...

    Claudius
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    Cool "J'aime ma boîte"...

    Message par Claudius Ven 20 Oct 2006, 13:48

    kiss

    "J'aime ma boîte"... mais son informatique me stresse !

    L’opération annuelle " J’aime ma boîte " cherche à améliorer, petit à petit, la relation du salarié avec son entreprise et son patron. Une relation à laquelle participent les nouvelles technologies, parfois pour le pire. Tour d'horizon.

    L'édition 2006 de l'opération " J'aime ma boîte "/La Fête de l'Entreprise a lieu ce jeudi 19 octobre. Elle a été créée en 2003 par Sophie de Menthon, présidente d'Ethic (Entreprise de taille humaine, indépendantes et de croissance) pour faire passer un message positif et constructif sur la vie en entreprise. Or l'usage mal contrôlé des nouvelles technologies peut avoir une influence néfaste.
    Selon le récent Baromètre du Stress, produit par la CFE-CGC, 22% des cadres se disent souvent crispés à leur travail, 40% s'estiment fréquemment interrompus, et 84% trouvent que leur rythme de travail s'est accéléré.
    Profusion et mauvais usage des nouvelles technologies n'y sont pas étrangers. Petits florilèges des problèmes courants et dérives notoires, trop rarement évoqués.


    Du côté des utilisateurs...
      - le stress de l'excès de communication: messageries hypertrophiées sous le poids des archives et inondées de spams, messagerie instantanée trop intrusive, lecteurs de flux RSS trop nerveux, blogs hyper-réactifs... difficile de tout gérer sereinement dans la journée.
      - l'abus de décisionnel: progiciels de business intelligence, production de tableaux de bord, rédaction de bilans sous Excel... le cadre moderne passerait plus de temps à tenter d'organiser, planifier, reporter son action, plutôt qu'agir.
      - le danger de l'outil inadapté: les choix de progiciels de gestion sont figés (on parle de "choix politiques") et ne reflètent pas les besoins des utilisateurs sur le terrain, d'où une inadéquation et des efforts permanents de ceux-ci pour travailler malgré tout.
      - le manque de formation: malgré les facilités de l'e-formation, 48% des responsables de TPE disent se former seuls par manque de temps et d'impulsion, 89% avouant que leur formation en gestion et management est inexistante ou incomplète (source: enquête Rivalis)
      - le bureau permanent: l'idée du "bureau mobile" (l'environnement de travail suit l'utilisateur à travers différents écrans interposés) devient en fait un bureau permanent...

    Impossibilité de "couper le cordon", "stress ramené à la maison", phénomène des "crackberries", ou drogués du BlackBerry, sont les maux nouveaux du cadre moderne...


    Du côté des informaticiens...
      - les dérives de l'off shore :
      délocaliser ses développements informatiques en Inde ou en Chine, c'est bien. Les gérer, c'est mieux. Alors que la tentation est toujours présente notamment en SSII, on commence à en mesurer les limites. « Le problème est avant tout linguistique... » explique Jean-Pierre Corniou, ex-DSI de Renault et nouveau patron France d'EDS. « On peut rédiger en anglais, mais il est difficile d'échanger avec des non-francophones. Cela peut même conduire à une forme d'agressivité, lorsqu'on fait répéter deux fois son interlocuteur, hors problèmes de compétences pures ».
      - la mobilité prétexte :
      si le PC portable est devenu un équipement lambda du travailleur, reste à maîtriser les déploiements de flottes mobiles. « Voilà l'exemple type du sujet agaçant ! De quoi parle t-on ? », pose J.P. Corniou.
      « Le but est de pouvoir travailler quel que soit l'endroit où l'on se trouve, c'est tout. Je crois personnellement à la théorie de l'utilité: ce n'est pas parce que l'on a un tournevis que tous les problèmes ont une tête de vis ».
      - la dématérialisation excessive :
      virtualisation des serveurs, "ASP-isation" des progiciels, augmentation exponentielle des échanges de données informatisées... Les frontières du système d'information volent en éclat. Et les problématiques se complexifient. « Le DSI doit devenir le gardien du temple des flux de l'entreprise », indique Georges Epinette, patron de l'informatique d'Intermarché.
      - les matériels qui flanchent :
      on l'a vu avec l'affaire -qui n'en finit plus- des batteries d'ordinateurs portables. Concurrence féroce, précipitation marketing, tests insuffisants, politique de production en volume plutôt qu'en finesse... Le marché de l'informatique a la fièvre, tandis que les prix fondent. « Concrètement, réfléchit-on au coût généré par tous ces problèmes ? Quel est le coût de l'incapacité d'un commercial qui n'a plus de portable pendant deux jours ? Ou du technicien qui ne pourra pas respecter un engagement contractuel à cause d'un équipement défaillant ? », s'interroge Denis Gallon, DG France d'Itronix.

      La date/heure actuelle est Lun 11 Nov 2024, 01:56