par "LOUPS" un superbe Film-Documentaire de Nicolas Vanier en quelques photos
Une aventure féérique au pays des loups
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Le film "Loup" de Nicolas Vanier est aussi magique qu'un beau livre d'images où
l'on se laisserait conter un monde meilleur, où les animaux et l'Homme
marcheraient vers un avenir commun. Émouvant, touchant, humaniste... les
adjectifs ne manquent pas pour parler de cette magnifique odyssée au royaume des
Evènes, ce peuple semi-nomade qui a toujours vécu en symbiose avec la nature.
Une ode à la nature sauvage, au cinéma le 9 décembre.
Un hymne aux paysages sauvages du Grand Nord
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De ses rencontres avec les loups - pour lequel il voue une véritable passion -
et avec les derniers nomades éleveurs de rennes du Grand Nord, Nicolas a imaginé
une histoire vraie. Cette fiction portée par des acteurs professionnels, des
loups, des hardes de rennes et les nomades Evènes est un hymne au Grand Nord.
La harde de rennes
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Pour son premier long métrage de fiction, Nicolas Vanier s'est inspiré de son
livre éponyme, "Loup", paru aux éditions XO. "Les hardes sont regroupées une
fois par an dans un village où une organisation se charge de la
commercialisation de quelques têtes de troupeau. L'argent receuilli permet aux
Evènes d'acheter sel, munitions, thé... Mais les clans se croisent également
dans l'année. Le film commence d'ailleurs par la visite d'un groupe voisin où
naît une histoire d'amour entre le héros, Sergueï et la belle Nastazia".
L'attelage : un aimant à loups
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Pour les loups, Nicolas Vanier n'a eu recours à aucun artifice. "Tout au long de
mes voyages dans les pays "d'en haut", il m'est arrivé de croiser les seigneurs
de ces terres sauvages. Parfois dans des face-à-face qui resteront à jamais
gravés dans ma mémoire. Je leur voue une véritable admiration. S'ils sont
craintifs et ne s'attaquent pas spontanément à l'homme, le traîneau à chiens est
en revanche le meilleur aimant à loups. L'attelage est alors considéré comme une
meute concurrente sur leur propre territoire".
Un peuple durable
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Pour Nicolas Vanier, les Evènes incarnent l'harmonie parfaite entre l'Homme et
la nature : "Ils sont l'exemple absolu de ce qui se peut se faire de mieux en
matière de vie durable. Si on revient les voir d'ici un siècle ; il y aura
autant de rennes, de mouflons et d'animaux sauvages qu'aujourd'hui. Ils font
l'inverse de nous qui mangeons la poule au lieu de manger les œufs.
Sergueï, le personnage principal du film
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Sergueï est un jeune Evène qui se questionne sur la relation conflictuelle des
hommes avec les loups et en particulier avec les éleveurs de rennes dont il fait
partie, pour qui les loups sont les pires prédateurs.
Impossible à apprivoiser
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"Le loup demeure un animal impossible à apprivoiser. Pour le film, nous avons
travaillé avec des loups peu habitués à la présence humaine, mais pas dressés.
Toute la complexité du tournage consistait à faire évoluer les loups librement
afin qu'ils aient un comportement totalement naturel. Il fallait inventer des
systèmes, des combines, pour provoquer spontanément des déplacements, des
attitudes, des actions qui servaient notre histoire."
Le loup menace les rennes
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Dans cette immensité, le loup rôde et menace en permanence les rennes ; unique
richesse et fierté des Évènes. Dès son plus jeune âge, Sergueï a appris à
chasser et abattre les loups sans état d'âme. Jusqu'au jour où sa rencontre avec
une louve et ses quatre adorables louveteaux va bouleverser toutes ses
certitudes...
Les Evènes
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Sergueï est un Évène, ces nomades éleveurs de rennes qui vivent dans les
montagnes de Sibérie orientale. A l'âge de 16 ans, Sergueï est nommé gardien de
la grande harde du clan de Batagaï. Ce clan, dont le chef est son père, est
composé de quatre familles et de leur harde de 3 000 rennes qu'ils conduisent
d'un alpage à l'autre au gré des saisons.
L'insouciance de la jeunesse
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... C'est à cet instant que sa vie bascule. Pour protéger "ses" loups, Sergueï
va transgresser les lois millénaires de son peuple et ainsi trahir son père et
son clan. Dans l'insouciance de sa jeunesse, Sergueï va braver l'interdit : le
jeune garçon et les louveteaux vont mutuellement s'apprivoiser. Par amour, il
partagera ce lourd secret avec la belle Nastazia. Mais c'est sans compter que le
loup garde son instinct de prédateur...
Étendues glacées
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Sur d'immenses étendues glacées, les hardes de rennes sont menées par les
Evènes, qui les font migrer pour les mener vers des pâturages plus riches.
Le gardien de la harde
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Celui qui mène la harde est seul face aux éléments, accompagné parfois d'un
cheval ou montant un renne. Il doit veiller sur près de 3 000 bêtes jour et
nuit.
La naissance d'une passion
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C'est lors d'une expédition en Sibérie en 1990, que Nicolas Vanier a fait la
connaissance des Evènes et a vécu avec eux pendant près d'un an. Il a partagé
leur quotidien, leurs déplacements et a constaté les liens forts et ambigus,
mélange de haine et de respect, qu'ils entretiennent avec les loups. C'est de
cette rencontre qu'est né tout d'abord le roman "Loup", qui deviendra plus tard
un long métrage.
Le choix du lieu de tournage
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Jean-Pierre Bailly, producteur de "Loup", revient sur les débuts de cette
aventure : "Nous avons eu énormément de mal à trouver l'endroit où nous devions
tourner : sur deux saisons, dans des paysages dantesques, avec 4 000 rennes en
permanence et des nomades qui ressemblent à des Evènes. Nous avons visité plein
d'endroits au Canada, dans l'Oural, en Finlande. Il y avait toujours quelque
chose qui clochait. J'ai dit à Nicolas que sa légitimité reposait sur son
authenticité". C'est alors que les deux hommes ont choisi la Sibérie.
Les loups du tournage
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"L'autre problématique était de trouver des loups, poursuit Jean-Pierre Bailly,
sur deux saisons et que l'on voit grandir. Donc trois portées de trois âges
différents. Les loups de Sibérie sont sauvages et il n'était pas question de les
approcher. Nous avons donc fait appel au canadien Andrew Simpson, qui nous avait
fourni tous les animaux sauvages sur "Le dernier trappeur", le précédent film de
Nicolas Vanier."
A croquer
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Comment résister à ces jeunes louveteaux maladroits, qui séduisent d'ailleurs
Sergueï, le héros de cette histoire ?
La grande Harde
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"Devant nous, la masse brune de près de 3 000 bêtes avançait, poussée par les
hommes et leurs chiens : un tonnerre de milliers de sabots, une énorme masse de
chair, de cuir et de bois en mouvement, dégageant un immense nuage de vapeur
blanche, un torrent de muscles qui se mit à couler devant nous, alors que les
bois dressés et entremêlés claquaient les uns contre les autres." Telle est la
première vision que Nicolas Vanier a eu de la grande Harde de rennes des Evènes.
Le champ magnétique de Nicolas Vanier
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Pendant près de 25 ans, Nicolas Vanier, explorateur et aventurier, a arpenté les
espaces sauvages des territoires du Grand Nord. De ses périples, sont nés de
nombreux récits, romans et documentaires. L'aventure débute toujours par le
respect absolu de la nature et des peuples qui y vivent.
Un rêve d'enfant
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Les rêves d'enfant de Nicolas Vanier ont été bercés par les récits de Fenimore
Cooper et Jack London. Indiens, trappeurs, bêtes sauvages, immensités blanches
et hostiles ont stimulé son imagination débordante au rythme de ses voyages.
Devenu adulte, il n'a rien perdu de sa fascination enfantine.
La première expédition
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C'est de la gare du Nord que Nicolas Vanier part pour la première grande
expédition de sa vie qui sera Kiruna, en Laponie, au-delà du cercle polaire
arctique. Suivront ensuite de nombreux périples à travers la Sibérie, au Canada,
en Sibérie, en Mongolie... à la recherche de ces grands espaces infinis dont il
rêve tant.
L'Homme et la nature
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Pour Nicolas Vanier, l'Homme et la nature ne font qu'un. Le message se veut
toujours utile pour que les hommes prennent enfin conscience de leur folie
destructrice.
Les expéditions de Nicolas Vanier
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Nicolas Vanier c'est également L'Odyssée Blanche, une traversée de plus de 8 000
km de Skagway en Alsaka, jusqu'au Québec, les grandes courses de traîneaux comme
le Yukon Quest, et pour parachever son dernier rêve d'aventurier, l'Odyssée
Sibérienne en solitaire, du lac Baïkal à Moscou.
Un homme qui n'a pas froid aux yeux
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Nicolas Vanier n'a pas froid aux yeux et ne recule devant rien pour accomplir
ses rêves et faire rêver le grand public avec ses sublimes images qu'il ramène
des contrées les plus hostiles
La belle Nastazia
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Nastazia est l'une des héroïnes du film et partage le secret des loups avec son
compagnon Sergueï.
Prêt à tout pour protéger la harde
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Au début du film, Sergueï compte bien protéger comme il se doit ses rennes du
danger des loups... jusqu'à la rencontre d'une louve et de sa portée.
L'organisation des déplacements
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Lorsque toute la tribu se déplace, l'organisation se doit d'être très minutieuse
afin d'optimiser les trajets et de ne rien laisser au hasard, pour parcourir des
centaines et des milliers de kilomètres en toute sérénité.
Authenticité
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Les acteurs du film se sont véritablement mis à l'eau pour rendre le film le
plus authentique possible.
Un campement
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Les Evènes sont établis par clans de quelques dizaines d'individus, regroupés
autour de la harde. En tant que nomades, ils vivent dans des campements
provisoires, et changent fréquemment de zone, en fonction des besoins des
rennes.
Fin de journée
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Fin de journée dans le Grand Nord sibérien.
Idylle naissante
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Idylle naissante entre les deux jeunes Evènes.
Une aventure féérique au pays des loups
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Le film "Loup" de Nicolas Vanier est aussi magique qu'un beau livre d'images où
l'on se laisserait conter un monde meilleur, où les animaux et l'Homme
marcheraient vers un avenir commun. Émouvant, touchant, humaniste... les
adjectifs ne manquent pas pour parler de cette magnifique odyssée au royaume des
Evènes, ce peuple semi-nomade qui a toujours vécu en symbiose avec la nature.
Une ode à la nature sauvage, au cinéma le 9 décembre.
Un hymne aux paysages sauvages du Grand Nord
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De ses rencontres avec les loups - pour lequel il voue une véritable passion -
et avec les derniers nomades éleveurs de rennes du Grand Nord, Nicolas a imaginé
une histoire vraie. Cette fiction portée par des acteurs professionnels, des
loups, des hardes de rennes et les nomades Evènes est un hymne au Grand Nord.
La harde de rennes
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Pour son premier long métrage de fiction, Nicolas Vanier s'est inspiré de son
livre éponyme, "Loup", paru aux éditions XO. "Les hardes sont regroupées une
fois par an dans un village où une organisation se charge de la
commercialisation de quelques têtes de troupeau. L'argent receuilli permet aux
Evènes d'acheter sel, munitions, thé... Mais les clans se croisent également
dans l'année. Le film commence d'ailleurs par la visite d'un groupe voisin où
naît une histoire d'amour entre le héros, Sergueï et la belle Nastazia".
L'attelage : un aimant à loups
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Pour les loups, Nicolas Vanier n'a eu recours à aucun artifice. "Tout au long de
mes voyages dans les pays "d'en haut", il m'est arrivé de croiser les seigneurs
de ces terres sauvages. Parfois dans des face-à-face qui resteront à jamais
gravés dans ma mémoire. Je leur voue une véritable admiration. S'ils sont
craintifs et ne s'attaquent pas spontanément à l'homme, le traîneau à chiens est
en revanche le meilleur aimant à loups. L'attelage est alors considéré comme une
meute concurrente sur leur propre territoire".
Un peuple durable
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Pour Nicolas Vanier, les Evènes incarnent l'harmonie parfaite entre l'Homme et
la nature : "Ils sont l'exemple absolu de ce qui se peut se faire de mieux en
matière de vie durable. Si on revient les voir d'ici un siècle ; il y aura
autant de rennes, de mouflons et d'animaux sauvages qu'aujourd'hui. Ils font
l'inverse de nous qui mangeons la poule au lieu de manger les œufs.
Sergueï, le personnage principal du film
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Sergueï est un jeune Evène qui se questionne sur la relation conflictuelle des
hommes avec les loups et en particulier avec les éleveurs de rennes dont il fait
partie, pour qui les loups sont les pires prédateurs.
Impossible à apprivoiser
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"Le loup demeure un animal impossible à apprivoiser. Pour le film, nous avons
travaillé avec des loups peu habitués à la présence humaine, mais pas dressés.
Toute la complexité du tournage consistait à faire évoluer les loups librement
afin qu'ils aient un comportement totalement naturel. Il fallait inventer des
systèmes, des combines, pour provoquer spontanément des déplacements, des
attitudes, des actions qui servaient notre histoire."
Le loup menace les rennes
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Dans cette immensité, le loup rôde et menace en permanence les rennes ; unique
richesse et fierté des Évènes. Dès son plus jeune âge, Sergueï a appris à
chasser et abattre les loups sans état d'âme. Jusqu'au jour où sa rencontre avec
une louve et ses quatre adorables louveteaux va bouleverser toutes ses
certitudes...
Les Evènes
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Sergueï est un Évène, ces nomades éleveurs de rennes qui vivent dans les
montagnes de Sibérie orientale. A l'âge de 16 ans, Sergueï est nommé gardien de
la grande harde du clan de Batagaï. Ce clan, dont le chef est son père, est
composé de quatre familles et de leur harde de 3 000 rennes qu'ils conduisent
d'un alpage à l'autre au gré des saisons.
L'insouciance de la jeunesse
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... C'est à cet instant que sa vie bascule. Pour protéger "ses" loups, Sergueï
va transgresser les lois millénaires de son peuple et ainsi trahir son père et
son clan. Dans l'insouciance de sa jeunesse, Sergueï va braver l'interdit : le
jeune garçon et les louveteaux vont mutuellement s'apprivoiser. Par amour, il
partagera ce lourd secret avec la belle Nastazia. Mais c'est sans compter que le
loup garde son instinct de prédateur...
Étendues glacées
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Sur d'immenses étendues glacées, les hardes de rennes sont menées par les
Evènes, qui les font migrer pour les mener vers des pâturages plus riches.
Le gardien de la harde
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Celui qui mène la harde est seul face aux éléments, accompagné parfois d'un
cheval ou montant un renne. Il doit veiller sur près de 3 000 bêtes jour et
nuit.
La naissance d'une passion
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C'est lors d'une expédition en Sibérie en 1990, que Nicolas Vanier a fait la
connaissance des Evènes et a vécu avec eux pendant près d'un an. Il a partagé
leur quotidien, leurs déplacements et a constaté les liens forts et ambigus,
mélange de haine et de respect, qu'ils entretiennent avec les loups. C'est de
cette rencontre qu'est né tout d'abord le roman "Loup", qui deviendra plus tard
un long métrage.
Le choix du lieu de tournage
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Jean-Pierre Bailly, producteur de "Loup", revient sur les débuts de cette
aventure : "Nous avons eu énormément de mal à trouver l'endroit où nous devions
tourner : sur deux saisons, dans des paysages dantesques, avec 4 000 rennes en
permanence et des nomades qui ressemblent à des Evènes. Nous avons visité plein
d'endroits au Canada, dans l'Oural, en Finlande. Il y avait toujours quelque
chose qui clochait. J'ai dit à Nicolas que sa légitimité reposait sur son
authenticité". C'est alors que les deux hommes ont choisi la Sibérie.
Les loups du tournage
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"L'autre problématique était de trouver des loups, poursuit Jean-Pierre Bailly,
sur deux saisons et que l'on voit grandir. Donc trois portées de trois âges
différents. Les loups de Sibérie sont sauvages et il n'était pas question de les
approcher. Nous avons donc fait appel au canadien Andrew Simpson, qui nous avait
fourni tous les animaux sauvages sur "Le dernier trappeur", le précédent film de
Nicolas Vanier."
A croquer
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Comment résister à ces jeunes louveteaux maladroits, qui séduisent d'ailleurs
Sergueï, le héros de cette histoire ?
La grande Harde
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"Devant nous, la masse brune de près de 3 000 bêtes avançait, poussée par les
hommes et leurs chiens : un tonnerre de milliers de sabots, une énorme masse de
chair, de cuir et de bois en mouvement, dégageant un immense nuage de vapeur
blanche, un torrent de muscles qui se mit à couler devant nous, alors que les
bois dressés et entremêlés claquaient les uns contre les autres." Telle est la
première vision que Nicolas Vanier a eu de la grande Harde de rennes des Evènes.
Le champ magnétique de Nicolas Vanier
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Pendant près de 25 ans, Nicolas Vanier, explorateur et aventurier, a arpenté les
espaces sauvages des territoires du Grand Nord. De ses périples, sont nés de
nombreux récits, romans et documentaires. L'aventure débute toujours par le
respect absolu de la nature et des peuples qui y vivent.
Un rêve d'enfant
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Les rêves d'enfant de Nicolas Vanier ont été bercés par les récits de Fenimore
Cooper et Jack London. Indiens, trappeurs, bêtes sauvages, immensités blanches
et hostiles ont stimulé son imagination débordante au rythme de ses voyages.
Devenu adulte, il n'a rien perdu de sa fascination enfantine.
La première expédition
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C'est de la gare du Nord que Nicolas Vanier part pour la première grande
expédition de sa vie qui sera Kiruna, en Laponie, au-delà du cercle polaire
arctique. Suivront ensuite de nombreux périples à travers la Sibérie, au Canada,
en Sibérie, en Mongolie... à la recherche de ces grands espaces infinis dont il
rêve tant.
L'Homme et la nature
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toujours utile pour que les hommes prennent enfin conscience de leur folie
destructrice.
Les expéditions de Nicolas Vanier
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Nicolas Vanier c'est également L'Odyssée Blanche, une traversée de plus de 8 000
km de Skagway en Alsaka, jusqu'au Québec, les grandes courses de traîneaux comme
le Yukon Quest, et pour parachever son dernier rêve d'aventurier, l'Odyssée
Sibérienne en solitaire, du lac Baïkal à Moscou.
Un homme qui n'a pas froid aux yeux
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Nicolas Vanier n'a pas froid aux yeux et ne recule devant rien pour accomplir
ses rêves et faire rêver le grand public avec ses sublimes images qu'il ramène
des contrées les plus hostiles
La belle Nastazia
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Nastazia est l'une des héroïnes du film et partage le secret des loups avec son
compagnon Sergueï.
Prêt à tout pour protéger la harde
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Au début du film, Sergueï compte bien protéger comme il se doit ses rennes du
danger des loups... jusqu'à la rencontre d'une louve et de sa portée.
L'organisation des déplacements
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Lorsque toute la tribu se déplace, l'organisation se doit d'être très minutieuse
afin d'optimiser les trajets et de ne rien laisser au hasard, pour parcourir des
centaines et des milliers de kilomètres en toute sérénité.
Authenticité
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plus authentique possible.
Un campement
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autour de la harde. En tant que nomades, ils vivent dans des campements
provisoires, et changent fréquemment de zone, en fonction des besoins des
rennes.
Fin de journée
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Fin de journée dans le Grand Nord sibérien.
Idylle naissante
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Idylle naissante entre les deux jeunes Evènes.
» oui madame !
» ça pique !!!
» C’est mathématiquement, philosophiquement idiot !
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, la cocaïne était utilisée pour traiter la dépression et les maux de dents !
» gentil toutou
» oh oui !
» bon appétit
» Le saviez-vous?La reconnaissance de soi chez les animaux
» la méprise
» oh oui !
» la dictée
» Le saviez-vous?Le détenteur du record du monde de tir à l’arc n’a pas de bras !
» heureusement qu'elle est la !
» dessous de table !
» c'est très bien
» Le saviez-vous? La plus petite guitare du monde a la taille d’un globule rouge !
» affreux !!!
» le marque-pages
» merci du conseil
» Le saviez-vous?En 2008, une plage a été volée en Jamaïque, tout le sable a été dérobé !
» coooooool
» bonne question !
» chère Dr
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, en Grande-Bretagne, une tentative de suicide était punie par pendaison