par Mars Direct 1 : première station humaine sur Mars en 2020
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Présentation générale de la base martienne habitable, Mars Direct 1.
Arpenter le sol de Mars n'est plus un doux rêve. Américains et
Européens se sont lancés dans une course à la planète rouge. Objectif :
construire une station habitable pour l'Homme d'ici 2020. Une
initiative qui doit enchanter les deux architectes Pierre Brulhet et
Olivier Walter, auteurs de nombreux projets de stations martiennes dont Mars Direct 1. Conscients des conditions de vie difficiles sur Mars,
ils ont élaboré une station optimale et confortable pour les
spationautes qui l'occuperont.
Un scénario idéal
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En 2020, la Station Spatiale Internationale servira de port d'attache.
Inscrit dans la continuité du projet européen, Euro-Mars, Mars Direct 1 pourrait être envoyée vers la planète rouge en 2020. Premier arrêt à la Station Spatiale Internationale qui accuse un certain vieillissement. Les modules s'arriment dessus. Les 12 membres d'équipage vont séjourner plusieurs mois à bord de l'ISS.
Départ pour le grand voyage
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L'ISS va conduire l'équipage vers sa destination finale, Mars.
Les deux modules surpuissants de Mars Direct 1 propulsent à vitesse
grand V l'ensemble ISS-station martienne vers la quatrième planète du
système solaire. Six mois sont nécessaires pour parcourir les millions de kilomètres séparant la Terre de Mars. L'ISS se positionnera en orbite autour de la planète rouge.
Entrée périlleuse dans l'atmosphère martienne
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Des boucliers thermiques protègent les modules lors de leur entrée dans l'atmosphère martienne.
Les deux modules arrimés à l'ISS se détachent. Ils doivent passer à
travers la mince couche atmosphérique. Elle est composée
essentiellement de dioxyde de carbone. Cette phase est la plus délicate pour l'équipage. Des boucliers thermiques permettent de prévenir tout endommagement de la structure.
Arrivée à bon port
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Les deux modules se séparent pour atteindre leur site de séjour.
La phase de descente terminée, chaque module va se poser à un point précis défini déjà sur Terre. Le module 1 doit arriver vers la Caldeira Olympus Mons, le plus haut sommet du système solaire, à savoir 25 km de haut. Quant au module 2, son point de villégiature est Valles Marineris, le plus grand canyon de Mars. Sa profondeur dépasse 6 km.
Déploiement des modules
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Sur place, les modules doivent se monter avec rapidité.
Une fois sur place, les modules se fixent au sol et déploient leurs différentes structures. Les deux architectes Pierre Brulhet et Olivier Walter ont revu leur copie par rapport au projet Euro-Mars (version française). Cette fois-ci, ils ont opté pour trois ensembles radiaux gonflables afin de libérer l'espace central.
Trois axes fonctionnels
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Les matériaux choisis pour les ensembles gonflables répondent aux contraintes environnementales.
Chaque partie gonflable correspond à :- Un sas par lequel les spationautes communiquent avec l'extérieur
- Une serre pour procéder à des expériences
- Un laboratoire où les scientifiques pourront réaliser directement les premières analyses des échantillons récoltés sur place
- Un garage est également prévu dans ce projet Mars Direct 1. Des quads serviront à la mobilité des spationautes sur Mars.
Un sas haute-sécurité
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Afin d'éviter le moindre accident, tout l'équipement du sas est gonflable.
Pour parer à toute éventualité ou accident, les architectes ont conçu
un sas où tous les rangements sont gonflables, comme lui. Ce lieu
permet l'accès à l'extérieur via une rampe. Il sert également de lieu
de stockage des échantillons ramenés et des équipements de sortie
martienne tels que les combinaisons.
Tourné vers le corps central de la station
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Le module de répartition est le point de convergence des trois structures gonflables.
Comme nous pouvons le voir dans cette image de synthèse, les
spationautes pourront accéder du bas vers le niveau 2 de la station
spatiale grâce à un escalier qui se trouve dans le local de
répartition.
Un foyer très polyvalent
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Représentation en image de synthèse de la zone principale de vie de l'équipage.
Pierre Brulhet et Olivier Walter ont conçu, au deuxième étage de la
station, un lieu de vie multifonctions. Ils ont prévu un maximum de
confort pour les membres de l'équipage : fauteuils, bureau privé, grande table à manger... Les architectes ont optimisé au maximum l'espace de sorte à ce que les spationautes ne souffrent pas d'un espace réduit sur Mars.
Tout en un
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La table à manger est stockée dans le plafond pour gagner de la place.
Pour gagner un maximum de place dans le volume polyvalent, les deux
architectes ont rusé. Bureau, salon mais aussi salle à manger, il faut
que tout l'équipement tienne dans un lieu confiné et plutôt réduit.
Pour l'immense table à manger, les architectes ont pensé à un mécanisme permettant de la faire monter et descendre du plafond. Ingénieux, non ?
Espace de détente optimal
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Aménagement du foyer en différents lieux de vie.
Sur cette image de synthèse, nous pouvons voir la distribution des différents espaces du foyer :
- A gauche, le salon, plus sobrement appelé le "sitting room".
- Au centre, l'escalier qui permet l'accès au niveau 1 vers le laboratoire, le sas et la serre.
- A droite, le coin cuisine
Des espaces privés pour travailler
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Des box individuels seront à la disposition des occupants de la station.
Pour travailler et communiquer avec la Terre, les architectes ont
mis au point des box de travail individuels, comme nous pouvons le voir
sur cette simulation. Via les échelles, les occupants pourront accéder au niveau trois de la station. Il comprend les chambres à coucher ainsi que les stockages.
Chambre avec vue
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Chaque membre d'équipage aura sa propre chambre à coucher.
Chaque membre d'équipage possède sa propre couchette avec, cerise sur le gâteau, une vue sur le module polyvalent.
100% confort
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Chaque fenêtre des chambres donne sur le foyer de Mars Direct 1.
Mars Direct 1 est un projet qui regroupe aussi bien la fonctionnalité
que le confort. Les architectes ne peuvent pas lésiner sur un habitat
que les habitants vont occuper pendant des mois.
A l'origine de ce projet, deux architectes férus de Mars : Pierre Brulhet et Olivier Walter. Ces deux hommes regrettent que l'architecture ne soit pas assez impliquée dans la conquête spatiale. Les deux passionnés veulent y remédier et élaborent de nombreux projets de stations martiennes. Leur objectif : concevoir des stations adaptées au séjour dans l'espace et sur Mars, tout en offrant un espace optimal et confortable à un équipage disposé à passer des années sur place. Il faut que l'architecte anticipe les futurs besoins des astronautes et qu'il
prenne en compte les contraintes environnementales.
Les contraintes rencontrées
- La taille des lanceurs de la fusée oblige à réduire la taille et le poids du matériel envoyé sur Mars.
- Les contraintes environnementales de Mars comme l'absence d'oxygène dans son atmosphère, la température extérieure froide, les tempêtes de poussières, le manque de lumière, l'absence d'eau, la faible
pesanteur...
- Les matériaux à utiliser sur Mars permettant de résister à l'environnement hostile à l'Homme. Les deux architectes ont mis au point de nombreux projets martiens tels que Euro-Mars, Mars Direct 1, Mars Sanctuary, MDRS 43..
Nous pouvons toujours réver dans les années 70 les scientifiques nous promettaient des autoroutes du ciel hyper sécurisés en l'an 2000 ! en 2010 (40 ans après) on nous ressert les memes fadaises et les gens se tuent toujours sur des routes "terrestres" ! alors 2020, les scientifiques sont toujours des doux reveurs, ils ne vivent pas sur la meme planète que les terriens "lambdas" quand l'homme vivra sur Mars je serai depuis longtemps retourné à la poussière....de notre mère patrie : la Terre !
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Présentation générale de la base martienne habitable, Mars Direct 1.
Arpenter le sol de Mars n'est plus un doux rêve. Américains et
Européens se sont lancés dans une course à la planète rouge. Objectif :
construire une station habitable pour l'Homme d'ici 2020. Une
initiative qui doit enchanter les deux architectes Pierre Brulhet et
Olivier Walter, auteurs de nombreux projets de stations martiennes dont Mars Direct 1. Conscients des conditions de vie difficiles sur Mars,
ils ont élaboré une station optimale et confortable pour les
spationautes qui l'occuperont.
Un scénario idéal
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En 2020, la Station Spatiale Internationale servira de port d'attache.
Inscrit dans la continuité du projet européen, Euro-Mars, Mars Direct 1 pourrait être envoyée vers la planète rouge en 2020. Premier arrêt à la Station Spatiale Internationale qui accuse un certain vieillissement. Les modules s'arriment dessus. Les 12 membres d'équipage vont séjourner plusieurs mois à bord de l'ISS.
Départ pour le grand voyage
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L'ISS va conduire l'équipage vers sa destination finale, Mars.
Les deux modules surpuissants de Mars Direct 1 propulsent à vitesse
grand V l'ensemble ISS-station martienne vers la quatrième planète du
système solaire. Six mois sont nécessaires pour parcourir les millions de kilomètres séparant la Terre de Mars. L'ISS se positionnera en orbite autour de la planète rouge.
Entrée périlleuse dans l'atmosphère martienne
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Des boucliers thermiques protègent les modules lors de leur entrée dans l'atmosphère martienne.
Les deux modules arrimés à l'ISS se détachent. Ils doivent passer à
travers la mince couche atmosphérique. Elle est composée
essentiellement de dioxyde de carbone. Cette phase est la plus délicate pour l'équipage. Des boucliers thermiques permettent de prévenir tout endommagement de la structure.
Arrivée à bon port
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Les deux modules se séparent pour atteindre leur site de séjour.
La phase de descente terminée, chaque module va se poser à un point précis défini déjà sur Terre. Le module 1 doit arriver vers la Caldeira Olympus Mons, le plus haut sommet du système solaire, à savoir 25 km de haut. Quant au module 2, son point de villégiature est Valles Marineris, le plus grand canyon de Mars. Sa profondeur dépasse 6 km.
Déploiement des modules
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Sur place, les modules doivent se monter avec rapidité.
Une fois sur place, les modules se fixent au sol et déploient leurs différentes structures. Les deux architectes Pierre Brulhet et Olivier Walter ont revu leur copie par rapport au projet Euro-Mars (version française). Cette fois-ci, ils ont opté pour trois ensembles radiaux gonflables afin de libérer l'espace central.
Trois axes fonctionnels
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Les matériaux choisis pour les ensembles gonflables répondent aux contraintes environnementales.
Chaque partie gonflable correspond à :- Un sas par lequel les spationautes communiquent avec l'extérieur
- Une serre pour procéder à des expériences
- Un laboratoire où les scientifiques pourront réaliser directement les premières analyses des échantillons récoltés sur place
- Un garage est également prévu dans ce projet Mars Direct 1. Des quads serviront à la mobilité des spationautes sur Mars.
Un sas haute-sécurité
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Afin d'éviter le moindre accident, tout l'équipement du sas est gonflable.
Pour parer à toute éventualité ou accident, les architectes ont conçu
un sas où tous les rangements sont gonflables, comme lui. Ce lieu
permet l'accès à l'extérieur via une rampe. Il sert également de lieu
de stockage des échantillons ramenés et des équipements de sortie
martienne tels que les combinaisons.
Tourné vers le corps central de la station
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Le module de répartition est le point de convergence des trois structures gonflables.
Comme nous pouvons le voir dans cette image de synthèse, les
spationautes pourront accéder du bas vers le niveau 2 de la station
spatiale grâce à un escalier qui se trouve dans le local de
répartition.
Un foyer très polyvalent
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Représentation en image de synthèse de la zone principale de vie de l'équipage.
Pierre Brulhet et Olivier Walter ont conçu, au deuxième étage de la
station, un lieu de vie multifonctions. Ils ont prévu un maximum de
confort pour les membres de l'équipage : fauteuils, bureau privé, grande table à manger... Les architectes ont optimisé au maximum l'espace de sorte à ce que les spationautes ne souffrent pas d'un espace réduit sur Mars.
Tout en un
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La table à manger est stockée dans le plafond pour gagner de la place.
Pour gagner un maximum de place dans le volume polyvalent, les deux
architectes ont rusé. Bureau, salon mais aussi salle à manger, il faut
que tout l'équipement tienne dans un lieu confiné et plutôt réduit.
Pour l'immense table à manger, les architectes ont pensé à un mécanisme permettant de la faire monter et descendre du plafond. Ingénieux, non ?
Espace de détente optimal
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Aménagement du foyer en différents lieux de vie.
Sur cette image de synthèse, nous pouvons voir la distribution des différents espaces du foyer :
- A gauche, le salon, plus sobrement appelé le "sitting room".
- Au centre, l'escalier qui permet l'accès au niveau 1 vers le laboratoire, le sas et la serre.
- A droite, le coin cuisine
Des espaces privés pour travailler
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Des box individuels seront à la disposition des occupants de la station.
Pour travailler et communiquer avec la Terre, les architectes ont
mis au point des box de travail individuels, comme nous pouvons le voir
sur cette simulation. Via les échelles, les occupants pourront accéder au niveau trois de la station. Il comprend les chambres à coucher ainsi que les stockages.
Chambre avec vue
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Chaque membre d'équipage aura sa propre chambre à coucher.
Chaque membre d'équipage possède sa propre couchette avec, cerise sur le gâteau, une vue sur le module polyvalent.
100% confort
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Chaque fenêtre des chambres donne sur le foyer de Mars Direct 1.
Mars Direct 1 est un projet qui regroupe aussi bien la fonctionnalité
que le confort. Les architectes ne peuvent pas lésiner sur un habitat
que les habitants vont occuper pendant des mois.
A l'origine de ce projet, deux architectes férus de Mars : Pierre Brulhet et Olivier Walter. Ces deux hommes regrettent que l'architecture ne soit pas assez impliquée dans la conquête spatiale. Les deux passionnés veulent y remédier et élaborent de nombreux projets de stations martiennes. Leur objectif : concevoir des stations adaptées au séjour dans l'espace et sur Mars, tout en offrant un espace optimal et confortable à un équipage disposé à passer des années sur place. Il faut que l'architecte anticipe les futurs besoins des astronautes et qu'il
prenne en compte les contraintes environnementales.
Les contraintes rencontrées
- La taille des lanceurs de la fusée oblige à réduire la taille et le poids du matériel envoyé sur Mars.
- Les contraintes environnementales de Mars comme l'absence d'oxygène dans son atmosphère, la température extérieure froide, les tempêtes de poussières, le manque de lumière, l'absence d'eau, la faible
pesanteur...
- Les matériaux à utiliser sur Mars permettant de résister à l'environnement hostile à l'Homme. Les deux architectes ont mis au point de nombreux projets martiens tels que Euro-Mars, Mars Direct 1, Mars Sanctuary, MDRS 43..
Nous pouvons toujours réver dans les années 70 les scientifiques nous promettaient des autoroutes du ciel hyper sécurisés en l'an 2000 ! en 2010 (40 ans après) on nous ressert les memes fadaises et les gens se tuent toujours sur des routes "terrestres" ! alors 2020, les scientifiques sont toujours des doux reveurs, ils ne vivent pas sur la meme planète que les terriens "lambdas" quand l'homme vivra sur Mars je serai depuis longtemps retourné à la poussière....de notre mère patrie : la Terre !
» oui madame !
» ça pique !!!
» C’est mathématiquement, philosophiquement idiot !
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, la cocaïne était utilisée pour traiter la dépression et les maux de dents !
» gentil toutou
» oh oui !
» bon appétit
» Le saviez-vous?La reconnaissance de soi chez les animaux
» la méprise
» oh oui !
» la dictée
» Le saviez-vous?Le détenteur du record du monde de tir à l’arc n’a pas de bras !
» heureusement qu'elle est la !
» dessous de table !
» c'est très bien
» Le saviez-vous? La plus petite guitare du monde a la taille d’un globule rouge !
» affreux !!!
» le marque-pages
» merci du conseil
» Le saviez-vous?En 2008, une plage a été volée en Jamaïque, tout le sable a été dérobé !
» coooooool
» bonne question !
» chère Dr
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, en Grande-Bretagne, une tentative de suicide était punie par pendaison