Haiti un Mois plus tard : La Détresse de tout un Peuple
Haïti après le séisme
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Le 12 janvier 2010, l'île d'Haïti était frappée par un puissant
séisme de magnitude 7,3 sur l'échelle de Richter provoquant des dégâts
humains et matériels sans précédent.
Le lendemain, les premières images révèlent au monde entier l'ampleur de la catastrophe. Ici, à Port-au-Prince, l'immense bâtisse du palais présidentiel ne tient plus qu'à un fil...
Des milliers de victimes
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13 janvier - Au lendemain du séisme, une jeune fille rescapée se repose
dans une clinique provisoire montée par les forces de l'ONU. Le bilan de
la catastrophe est extrêmement lourd : le séisme a fait plus de
200 000 morts et plus de 300 000 blessés. Une hécatombe pour ce pays
très pauvre.
Premiers secours
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13 janvier - Immédiatement, la Mission de Stabilisation en Haïti
(MINUSTAH), met en place des cliniques de fortunes pour prodiguer les
premiers soins aux victimes non-ensevelies. Ils sont présents dans le pays depuis 2004.
Un champ de ruine
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13 janvier - Le lendemain de la secousse principale, la vue aérienne est
terrifiante. Les zones d'habitation urbaines, aux abords de Port-au-Prince, ne sont plus qu'un immense tas de gravats et de ferrailles. Les maisons précaires, fabriquées avec du béton non renforcé et des taules en guise de toits, se sont effondrées les unes sur les autres.
Le centre-ville vu d'en haut
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13 janvier - En vue aérienne, le centre de Port-au-Prince est défiguré. Les bâtisses encore debout se comptent sur les doigts de la main. En tout, plus de 225 000 maisons d'habitation sont tombées en miettes à Port-au-Prince.
Trouver refuge
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13 janvier - Démunies, les victimes rescapées du séisme se regroupent dans des campements précaires encerclés de bâtiments qui menacent de s'effondrer à la moindre nouvelle réplique. Le séisme de la veille a détruit les toits de près d'un million de personnes.
L'ONU touchée
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13 janvier - Vue aérienne du bâtiment des Nations Unies après le séisme.
La mission de l'ONU en Haïti a également été frappé de plein fouet.
Dans l'effondrement, 84 onusiens ont perdu la vie dont le chef de la
MINUSTAH, Hedi Annabi.
L'Hôtel Montana
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13 janvier - Avant de se transformer en tas de gravats, le Montana était
l'un des plus beaux hôtels de la capitale. Avec les nombreuses secousses, les cinq étages du quatre étoiles se sont effondrés sur les 200 employés et touristes qui se trouvaient à l'intérieur.
Rechercher les survivants
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13 janvier - Dans les ruines de l'hôtel Montana, deux hommes, équipés de
simples outils de jardinage, guettent les signes d'éventuels survivants. Dans les jours qui ont suivi la catastrophe, seule une dizaine de "miraculés" a été extirpée des décombres.
Secourir avant tout
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13 janvier - Des soldats évacuent les blessés de l'hôtel Montana par
hélicoptère. Dans le chaos ambiant et malgré de lourdes pertes, les soldats onusiens maintiennent le cap de leur mission en Haïti.
A l'intérieur du centre-ville
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14 janvier - Deux jours après la secousse principale, ceux qui s'aventurent dans le centre-ville découvrent de plus en plus l'immensité des dégâts. Le coeur commercial de Port-au-Prince, très réputé pour son effervescence, offre désormais un spectacle de désolation. Le montant des destructions se montent à plus de 4 milliards de dollars, c'est plus de la moitié du PIB d'Haïti.
Contenir les débordements
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14 janvier - Des officiers de la police nationale haïtienne patrouillent
aux abords des ruines du palais présidentiel pour anticiper d'éventuels
débordements. Ce pays à l'économie très fragile est aussi très
instable sur le plan politique.
Un commerce résistant
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14 janvier - Coincé entre un immeuble ruiné à sa gauche et un autre
affaissé à sa droite, ce petit restaurant fait partie des très rares
constructions à avoir résisté au séisme et à ses répliques successives.
En tout, le séisme a détruit 25 000 bâtiments de commerce.
La trésorerie au sol
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14 janvier - Un homme blessé en fauteuil roulant regarde le bâtiment
gouvernemental des impôts et de la fiscalité mis en ruines par le séisme. L'absence de construction aux normes parasismiques en Haïti explique, presque à elle seule, l'immensité des dégâts causés par la puissante secousse.
Chercher un espace sûr
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14 janvier - Dans la crainte des répliques à venir, une partie de la
population de Port-au-Prince s'est installée aux abords du Palais
Présidentiel. Ici, l'endroit est plus sûr car l'espace est dégagé et aucun immeuble ne risque de s'effondrer sur les réfugiés.
Attendre l'eau potable
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14 janvier - Les habitants de Port-au-Prince font la queue pour remplir leur jerrican d'eau car le séisme a détruit les systèmes
d'assainissement des eaux courantes. Du coup, les fontaines publiques
insalubres peuvent devenir des facteurs de maladies.
Un million de sans-abris
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14 janvier - Après le tremblement de terre dévastateur, les survivants,
désormais sans toit au dessus de leurs têtes, s'installent sous des tentes de fortune. Peu après le séisme, l'Organisation mondiale pour les migrations estimait à près d'un million le nombre de sans-abris à Port-au-Prince.
La cathédrale vue de haut
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13 janvier 2010 - En vue aérienne, la cathédrale "Notre Dame de
l'Assomption" construite en 1895 est presque intégralement démolie. Si
la façade a résisté aux secousses, ses deux tours caractéristiques se sont écrasées au sol.
La cathédrale vue du sol
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15 janvier - Les ruines de la cathédrale "Notre-Dame de l'Assomption"
vues de l'intérieur. Haut lieu religieux et culturel d'Haïti, avant le séisme, elle pouvait accueillir jusqu'à 2 500 fidèles pour la messe dominicale. Dans la catastrophe du 12 janvier, l'archevêque Mrg Serge Joseph Miot a trouvé la mort.
Des milliers d'orphelins
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15 janvier - Des enfants mangent les repas distribués par les casques bleus boliviens. Selon l'Unicef, la catastrophe sismique a provoqué la plus grave crise de protection de l'enfant jamais connue. Avant le séisme, les orphelinats comptaient déjà 300 000 enfants. Le nombre a
vraisemblablement augmenté depuis le tremblement de terre.
Solidarité internationale
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15 janvier - Les soldats des forces internationales apportent nourriture
et réconfort aux sinistrés. Près de cinquante pays ou organisations ont
répondu présents à l'appel de solidarité pour Haïti lancé le 13 janvier par le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon.
De nouveaux obstacles
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15 janvier - Un homme traverse périlleusement l'une des nombreuses
dolines que le séisme a fait apparaître un peu partout dans Port-au Prince. Ces "trous" de quelques mètres de profondeurs et où l'eau
s'accumule, apparaissent là où le sol s'est affaissé sous son propre
poids aux moments des secousses.
Un exode massif
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15 janvier - Des bus surchargés quittent la capitale dévastée devenue
invivable et dangereuse depuis le tremblement de terre. Au moins
482 000 personnes ont quitté Port-au-Prince en prenant la direction des
zones rurales préservées de la destruction. Mais cet exode massif a une
conséquence économique en faisant monter les prix des denrées de
première nécessité.
Scène de pugilat
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15 janvier - Deux jours après la secousse principale, des habitants de
Port-au-Prince se battent pour récupérer l'eau qui s'échappe d'une
canalisation rompue. L'incertitude et l'attente des secours exacerbent
les tensions qui peuvent entraîner des scènes de pugilat dans la ville.
"We need help"
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15 janvier - Sur le bord d'une autoroute, une pancarte "We need help"
("Nous avons besoin d'aide") a été plantée par des sinistrés de Port-au-Prince. Dans ce pays qui est l'un des plus pauvres du monde, le séisme a amplifié l'état d'urgence sanitaire et sociale. Des artistes, des personnalités politiques ou de simples particuliers se sont mobilisés pour faire parvenir rapidement de l'aide matérielle aux sinistrés du tremblement de terre.
A SUIVRE......
Haïti après le séisme
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Le 12 janvier 2010, l'île d'Haïti était frappée par un puissant
séisme de magnitude 7,3 sur l'échelle de Richter provoquant des dégâts
humains et matériels sans précédent.
Le lendemain, les premières images révèlent au monde entier l'ampleur de la catastrophe. Ici, à Port-au-Prince, l'immense bâtisse du palais présidentiel ne tient plus qu'à un fil...
Des milliers de victimes
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13 janvier - Au lendemain du séisme, une jeune fille rescapée se repose
dans une clinique provisoire montée par les forces de l'ONU. Le bilan de
la catastrophe est extrêmement lourd : le séisme a fait plus de
200 000 morts et plus de 300 000 blessés. Une hécatombe pour ce pays
très pauvre.
Premiers secours
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13 janvier - Immédiatement, la Mission de Stabilisation en Haïti
(MINUSTAH), met en place des cliniques de fortunes pour prodiguer les
premiers soins aux victimes non-ensevelies. Ils sont présents dans le pays depuis 2004.
Un champ de ruine
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13 janvier - Le lendemain de la secousse principale, la vue aérienne est
terrifiante. Les zones d'habitation urbaines, aux abords de Port-au-Prince, ne sont plus qu'un immense tas de gravats et de ferrailles. Les maisons précaires, fabriquées avec du béton non renforcé et des taules en guise de toits, se sont effondrées les unes sur les autres.
Le centre-ville vu d'en haut
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13 janvier - En vue aérienne, le centre de Port-au-Prince est défiguré. Les bâtisses encore debout se comptent sur les doigts de la main. En tout, plus de 225 000 maisons d'habitation sont tombées en miettes à Port-au-Prince.
Trouver refuge
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13 janvier - Démunies, les victimes rescapées du séisme se regroupent dans des campements précaires encerclés de bâtiments qui menacent de s'effondrer à la moindre nouvelle réplique. Le séisme de la veille a détruit les toits de près d'un million de personnes.
L'ONU touchée
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13 janvier - Vue aérienne du bâtiment des Nations Unies après le séisme.
La mission de l'ONU en Haïti a également été frappé de plein fouet.
Dans l'effondrement, 84 onusiens ont perdu la vie dont le chef de la
MINUSTAH, Hedi Annabi.
L'Hôtel Montana
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13 janvier - Avant de se transformer en tas de gravats, le Montana était
l'un des plus beaux hôtels de la capitale. Avec les nombreuses secousses, les cinq étages du quatre étoiles se sont effondrés sur les 200 employés et touristes qui se trouvaient à l'intérieur.
Rechercher les survivants
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13 janvier - Dans les ruines de l'hôtel Montana, deux hommes, équipés de
simples outils de jardinage, guettent les signes d'éventuels survivants. Dans les jours qui ont suivi la catastrophe, seule une dizaine de "miraculés" a été extirpée des décombres.
Secourir avant tout
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13 janvier - Des soldats évacuent les blessés de l'hôtel Montana par
hélicoptère. Dans le chaos ambiant et malgré de lourdes pertes, les soldats onusiens maintiennent le cap de leur mission en Haïti.
A l'intérieur du centre-ville
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14 janvier - Deux jours après la secousse principale, ceux qui s'aventurent dans le centre-ville découvrent de plus en plus l'immensité des dégâts. Le coeur commercial de Port-au-Prince, très réputé pour son effervescence, offre désormais un spectacle de désolation. Le montant des destructions se montent à plus de 4 milliards de dollars, c'est plus de la moitié du PIB d'Haïti.
Contenir les débordements
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14 janvier - Des officiers de la police nationale haïtienne patrouillent
aux abords des ruines du palais présidentiel pour anticiper d'éventuels
débordements. Ce pays à l'économie très fragile est aussi très
instable sur le plan politique.
Un commerce résistant
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14 janvier - Coincé entre un immeuble ruiné à sa gauche et un autre
affaissé à sa droite, ce petit restaurant fait partie des très rares
constructions à avoir résisté au séisme et à ses répliques successives.
En tout, le séisme a détruit 25 000 bâtiments de commerce.
La trésorerie au sol
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14 janvier - Un homme blessé en fauteuil roulant regarde le bâtiment
gouvernemental des impôts et de la fiscalité mis en ruines par le séisme. L'absence de construction aux normes parasismiques en Haïti explique, presque à elle seule, l'immensité des dégâts causés par la puissante secousse.
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14 janvier - Dans la crainte des répliques à venir, une partie de la
population de Port-au-Prince s'est installée aux abords du Palais
Présidentiel. Ici, l'endroit est plus sûr car l'espace est dégagé et aucun immeuble ne risque de s'effondrer sur les réfugiés.
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14 janvier - Les habitants de Port-au-Prince font la queue pour remplir leur jerrican d'eau car le séisme a détruit les systèmes
d'assainissement des eaux courantes. Du coup, les fontaines publiques
insalubres peuvent devenir des facteurs de maladies.
Un million de sans-abris
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14 janvier - Après le tremblement de terre dévastateur, les survivants,
désormais sans toit au dessus de leurs têtes, s'installent sous des tentes de fortune. Peu après le séisme, l'Organisation mondiale pour les migrations estimait à près d'un million le nombre de sans-abris à Port-au-Prince.
La cathédrale vue de haut
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13 janvier 2010 - En vue aérienne, la cathédrale "Notre Dame de
l'Assomption" construite en 1895 est presque intégralement démolie. Si
la façade a résisté aux secousses, ses deux tours caractéristiques se sont écrasées au sol.
La cathédrale vue du sol
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15 janvier - Les ruines de la cathédrale "Notre-Dame de l'Assomption"
vues de l'intérieur. Haut lieu religieux et culturel d'Haïti, avant le séisme, elle pouvait accueillir jusqu'à 2 500 fidèles pour la messe dominicale. Dans la catastrophe du 12 janvier, l'archevêque Mrg Serge Joseph Miot a trouvé la mort.
Des milliers d'orphelins
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15 janvier - Des enfants mangent les repas distribués par les casques bleus boliviens. Selon l'Unicef, la catastrophe sismique a provoqué la plus grave crise de protection de l'enfant jamais connue. Avant le séisme, les orphelinats comptaient déjà 300 000 enfants. Le nombre a
vraisemblablement augmenté depuis le tremblement de terre.
Solidarité internationale
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15 janvier - Les soldats des forces internationales apportent nourriture
et réconfort aux sinistrés. Près de cinquante pays ou organisations ont
répondu présents à l'appel de solidarité pour Haïti lancé le 13 janvier par le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon.
De nouveaux obstacles
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15 janvier - Un homme traverse périlleusement l'une des nombreuses
dolines que le séisme a fait apparaître un peu partout dans Port-au Prince. Ces "trous" de quelques mètres de profondeurs et où l'eau
s'accumule, apparaissent là où le sol s'est affaissé sous son propre
poids aux moments des secousses.
Un exode massif
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15 janvier - Des bus surchargés quittent la capitale dévastée devenue
invivable et dangereuse depuis le tremblement de terre. Au moins
482 000 personnes ont quitté Port-au-Prince en prenant la direction des
zones rurales préservées de la destruction. Mais cet exode massif a une
conséquence économique en faisant monter les prix des denrées de
première nécessité.
Scène de pugilat
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15 janvier - Deux jours après la secousse principale, des habitants de
Port-au-Prince se battent pour récupérer l'eau qui s'échappe d'une
canalisation rompue. L'incertitude et l'attente des secours exacerbent
les tensions qui peuvent entraîner des scènes de pugilat dans la ville.
"We need help"
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15 janvier - Sur le bord d'une autoroute, une pancarte "We need help"
("Nous avons besoin d'aide") a été plantée par des sinistrés de Port-au-Prince. Dans ce pays qui est l'un des plus pauvres du monde, le séisme a amplifié l'état d'urgence sanitaire et sociale. Des artistes, des personnalités politiques ou de simples particuliers se sont mobilisés pour faire parvenir rapidement de l'aide matérielle aux sinistrés du tremblement de terre.
A SUIVRE......
Sam 14 Jan 2023, 07:16 par arkanax
» oui madame !
Sam 14 Jan 2023, 07:11 par arkanax
» ça pique !!!
Sam 14 Jan 2023, 07:09 par arkanax
» C’est mathématiquement, philosophiquement idiot !
Sam 14 Jan 2023, 07:04 par arkanax
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, la cocaïne était utilisée pour traiter la dépression et les maux de dents !
Sam 14 Jan 2023, 06:57 par arkanax
» gentil toutou
Ven 13 Jan 2023, 07:21 par arkanax
» oh oui !
Ven 13 Jan 2023, 07:14 par arkanax
» bon appétit
Ven 13 Jan 2023, 07:10 par arkanax
» Le saviez-vous?La reconnaissance de soi chez les animaux
Ven 13 Jan 2023, 07:03 par arkanax
» la méprise
Jeu 12 Jan 2023, 07:16 par arkanax
» oh oui !
Jeu 12 Jan 2023, 07:12 par arkanax
» la dictée
Jeu 12 Jan 2023, 07:06 par arkanax
» Le saviez-vous?Le détenteur du record du monde de tir à l’arc n’a pas de bras !
Jeu 12 Jan 2023, 07:03 par arkanax
» heureusement qu'elle est la !
Mer 11 Jan 2023, 07:24 par arkanax
» dessous de table !
Mer 11 Jan 2023, 07:13 par arkanax
» c'est très bien
Mer 11 Jan 2023, 07:09 par arkanax
» Le saviez-vous? La plus petite guitare du monde a la taille d’un globule rouge !
Mer 11 Jan 2023, 07:05 par arkanax
» affreux !!!
Mar 10 Jan 2023, 07:18 par arkanax
» le marque-pages
Mar 10 Jan 2023, 07:15 par arkanax
» merci du conseil
Mar 10 Jan 2023, 07:09 par arkanax
» Le saviez-vous?En 2008, une plage a été volée en Jamaïque, tout le sable a été dérobé !
Mar 10 Jan 2023, 07:04 par arkanax
» coooooool
Lun 09 Jan 2023, 07:14 par arkanax
» bonne question !
Lun 09 Jan 2023, 07:10 par arkanax
» chère Dr
Lun 09 Jan 2023, 07:04 par arkanax
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, en Grande-Bretagne, une tentative de suicide était punie par pendaison
Lun 09 Jan 2023, 07:00 par arkanax