par La Détresse de tout un peuple (26 à 50)
Le bidonville de Cité Soleil
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15 janvier - A Cité-Soleil (en banlieue de Port-au-Prince), des enfants
jouent avec un sac plastique en guise de cerf-volant. Au moment du
séisme, les gangs qui contrôlaient cet immense bidonville ont déserté
temporairement la zone. Mais cinq jours plus tard, ils ont repris
d'assaut ce qu'ils considèrent comme "leur" territoire.
L'insalubrité menaçante
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15 janvier - Un jeune garçon vient de remplir son seau d'eau à Cité
Soleil prés de Port-au-Prince. Dans le bidonville, les conséquences du
séisme menacent avant tout l'hygiène. Les eaux stagnantes, déversées en
continu par les canalisations cassées, peuvent s'infecter et amener des
maladies comme le choléra.
Les chiens sauveteurs
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16 janvier - Aidés de leur fidèle compagnon, deux sauveteurs américains
cherchent des survivants dans les ruines d'une banque. Comme pour les
avalanches, le flair des chiens apporte une aide majeur en indiquant là
où se trouvent les survivants.
Des équipes de recherche internationales
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16 janvier - Les équipes de recherche brésiliennes et chinoises
travaillent main dans la main pour trouver d'éventuels rescapés sous les
décombres. L'effort international a permis de sauver
certains "miraculés" et ce jusqu'au bout des opérations de recherche le
23 janvier.
Visite de Ban Ki-Moon
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17 janvier - Cinq jours après la première secousse, le Secrétaire
général de l'ONU, Ban Ki-Moon, se rend en Haïti. Outre être allé la
rencontre des Haïtiens sinistrés, son déplacement avait pour but
d'évaluer l'ampleur des besoins matériels. Il est aussi allé soutenir la
mission internationale de l'ONU en Haïti (MINUSTAH).
Attendre pour manger
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18 janvier - Les victimes sinistrées sont dépendantes de l'aide
internationale. Le soir, d'immenses files d'attente se forment devant
les stands de distribution de nourriture de l'ONU qui écoulent des
centaines de repas par jour.
Sans relâche
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19 janvier - Près de Port-au-Prince, un Haïtien boit les gouttes de jus
d'orange qui s'échappent d'un sac percé.
Le stade de Leogâne
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20 janvier - Dans le stade de Léogâne, transformé en camp où les
habitants ont installés des abris temporaires, les Haïtiens attendent la
distribution de nourriture du Programme Alimentaire Mondial et de
l'Agence d'Aide à la Coopération Technique et au Développement. La
sécurité est assurée par le bataillon sri lankais de la MINUSTAH (ONU)
en Haïti.
Partir en barques
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20 janvier - Si certains sont partis sur les routes, d'autres n'hésitent
à s'entasser dans des barques pour quitter la zone dévastée de Port-au
Prince.
Prières
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21 janvier - Alors qu'un bataillon des Nations Unis patrouille pour
sécuriser la zone, des habitantes du bidonville de Cité-Soleil récitent
une prière nocturne.
L'eau en bouteille
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22 janvier - Les casques bleus brésiliens de la Mission de Stabilisation
en Haïti (MINUSTAH) distribuent l'eau qui arrive, au fur et à
mesure, par camions entiers.
Des milliers d'amputations
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22 janvier - Une femme en fauteuil roulant part avec une bouteille d'eau
donnée par les casques bleus brésiliens. En tout, plus
de 4 000 blessés ont dû subir une amputation d'urgence.
Les équipes françaises à l'oeuvre
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23 janvier - Alors que la fin des recherches vient d'être annoncée par
les autorités, les équipes françaises retrouvent un 133e "miraculé"
coincé sous les décombres d'un magasin d'alimentation.
Reconstruire temporairement
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23 janvier - Dans les camps de réfugiés, les abris temporaires, très
rudimentaires, sont construits avec des planches clouées et de la toile
en guise de toit.
Nourrir mieux les enfants
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24 janvier - Dans le bidonville de Cité Soleil, des soldats brésiliens
de l'ONU distribuent des barres hyper-protéinées et plus caloriques,
spécialement prévues pour les enfants.
Camps de réfugiés
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25 janvier - Pour éviter le danger latent des ruines, les réfugiés
s'installent dans les espaces dégagés comme ici, sur un parcours de golf
en périphérie de Port-au-Prince. Plus de 500 camps de fortune de ce
type ont poussé depuis la catastrophe du 12 janvier.
Urgence alimentaire
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25 janvier - Des personnes ramassent les haricots tombés d'un sac après
une distribution d'urgence de nourriture à Port-au-Prince.
Carrefour Feuilles
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26 janvier - L'organisation internationale non gouvernemental ACTED a
fourni de l'eau aux habitants de Tapis Rouge, non loin du quartier
de Carrefour Feuilles, au sud de Port-au-Prince. Dans ce bidonville
installé sur les montagnes qui entourent la ville, l'assistance a été
minime depuis le séisme.
Victimes anonymes
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27 janvier - Un cimetière aux sépultures anonymes dans une zone rurale
en dehors de Port-au-Prince. Dans l'urgence sanitaire, beaucoup de
victimes n'ont pas pu recevoir de funérailles formelles.
Rescapé
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28 janvier - Un homme âgé se repose dans l'hôpital de Jacmel, une ville
située au sud du pays. Il est l'un des milliers de Haïtiens qui ont
sollicité une aide médicale d'urgence après le séisme.
Les incendies
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29 janvier - Un homme sauve une caisse des flammes qui embrasent
Port-au-Prince. Depuis le séisme, plusieurs incendies se sont déclenchés
dans les ruines de la ville. Depuis le séisme, les habitants ont pris
l'habitude de brûler leurs ordures à même les rues.
Distribution de tentes
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30 janvier - Les membres locaux de l'ONU qui ont perdu leurs maisons
dans le séisme attendent devant un stand où la Mission de Stabilisation
en Haiti leurs distribue des tentes.
Des tentes à perte de vue
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31 janvier - Sur l'espace du club de Pétionville, consacré initialement
au golf et au tennis, 50 000 personnes réfugiées se sont installées sous
des abris ad hoc.
Visite médicale
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3 février - Pour les réfugiés, le souci médical reste permanent. Ici, un
médecin rend visite à une femme enceinte sous sa tente installée sur le
stade de Port-au-Prince.
Bill Clinton en Haïti
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5 février - Bill Clinton, ancien président des Etats-Unis, est présent
en Haïti comme "envoyé spécial" des Nations Unis. Ici, il est assailli
par les reporters après sa rencontre avec le président René Préval à la
Direction Centrale de la Police Judiciaire où s'est installé
temporairement le gouvernement.
Le 12 janvier 2010, en fin de journée, un séïsme a ravagé Haïti,
l'un des pays les plus pauvres du monde. Une secousse de
magnitude 7 a touché l'île à 16h53 locales (21h53 GMT), à
seulement 15 km de la capitale surpeuplée, Port-au-Prince.
Après la catastrophe qui a causé de nombreux dégâts, des milliers
d'Haïtiens, n'ayant plus de toit pour dormir, ont été contraints de
passer la nuit dehors, parfois au milieu des cadavres et des décombres
qui jonchaient les rues de la capitale.
Dans la nuit du
12 au 13 janvier, les morts commençaient déjà à se compter par
centaines. Le bilan du drame atteint aujourd'hui les 217 000 morts
et 1,2 million de sans-abris. Très vite, l'aide internationale
s'est mise en place, transportant vivres, médicaments, installations
d'accès à l'eau et d'assainissement sur place pour tenter d'éviter
qu'une catastrophe sanitaire et humanitaire s'ajoute
aux nombreux de décès du tremblement de terre.
Une véritable catastrophe Humanitaire qui cette fois encore a déclenché un immense élan de solidarité.
Le bidonville de Cité Soleil
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15 janvier - A Cité-Soleil (en banlieue de Port-au-Prince), des enfants
jouent avec un sac plastique en guise de cerf-volant. Au moment du
séisme, les gangs qui contrôlaient cet immense bidonville ont déserté
temporairement la zone. Mais cinq jours plus tard, ils ont repris
d'assaut ce qu'ils considèrent comme "leur" territoire.
L'insalubrité menaçante
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15 janvier - Un jeune garçon vient de remplir son seau d'eau à Cité
Soleil prés de Port-au-Prince. Dans le bidonville, les conséquences du
séisme menacent avant tout l'hygiène. Les eaux stagnantes, déversées en
continu par les canalisations cassées, peuvent s'infecter et amener des
maladies comme le choléra.
Les chiens sauveteurs
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16 janvier - Aidés de leur fidèle compagnon, deux sauveteurs américains
cherchent des survivants dans les ruines d'une banque. Comme pour les
avalanches, le flair des chiens apporte une aide majeur en indiquant là
où se trouvent les survivants.
Des équipes de recherche internationales
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16 janvier - Les équipes de recherche brésiliennes et chinoises
travaillent main dans la main pour trouver d'éventuels rescapés sous les
décombres. L'effort international a permis de sauver
certains "miraculés" et ce jusqu'au bout des opérations de recherche le
23 janvier.
Visite de Ban Ki-Moon
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17 janvier - Cinq jours après la première secousse, le Secrétaire
général de l'ONU, Ban Ki-Moon, se rend en Haïti. Outre être allé la
rencontre des Haïtiens sinistrés, son déplacement avait pour but
d'évaluer l'ampleur des besoins matériels. Il est aussi allé soutenir la
mission internationale de l'ONU en Haïti (MINUSTAH).
Attendre pour manger
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18 janvier - Les victimes sinistrées sont dépendantes de l'aide
internationale. Le soir, d'immenses files d'attente se forment devant
les stands de distribution de nourriture de l'ONU qui écoulent des
centaines de repas par jour.
Sans relâche
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19 janvier - Près de Port-au-Prince, un Haïtien boit les gouttes de jus
d'orange qui s'échappent d'un sac percé.
Le stade de Leogâne
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20 janvier - Dans le stade de Léogâne, transformé en camp où les
habitants ont installés des abris temporaires, les Haïtiens attendent la
distribution de nourriture du Programme Alimentaire Mondial et de
l'Agence d'Aide à la Coopération Technique et au Développement. La
sécurité est assurée par le bataillon sri lankais de la MINUSTAH (ONU)
en Haïti.
Partir en barques
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20 janvier - Si certains sont partis sur les routes, d'autres n'hésitent
à s'entasser dans des barques pour quitter la zone dévastée de Port-au
Prince.
Prières
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21 janvier - Alors qu'un bataillon des Nations Unis patrouille pour
sécuriser la zone, des habitantes du bidonville de Cité-Soleil récitent
une prière nocturne.
L'eau en bouteille
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22 janvier - Les casques bleus brésiliens de la Mission de Stabilisation
en Haïti (MINUSTAH) distribuent l'eau qui arrive, au fur et à
mesure, par camions entiers.
Des milliers d'amputations
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22 janvier - Une femme en fauteuil roulant part avec une bouteille d'eau
donnée par les casques bleus brésiliens. En tout, plus
de 4 000 blessés ont dû subir une amputation d'urgence.
Les équipes françaises à l'oeuvre
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23 janvier - Alors que la fin des recherches vient d'être annoncée par
les autorités, les équipes françaises retrouvent un 133e "miraculé"
coincé sous les décombres d'un magasin d'alimentation.
Reconstruire temporairement
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23 janvier - Dans les camps de réfugiés, les abris temporaires, très
rudimentaires, sont construits avec des planches clouées et de la toile
en guise de toit.
Nourrir mieux les enfants
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24 janvier - Dans le bidonville de Cité Soleil, des soldats brésiliens
de l'ONU distribuent des barres hyper-protéinées et plus caloriques,
spécialement prévues pour les enfants.
Camps de réfugiés
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25 janvier - Pour éviter le danger latent des ruines, les réfugiés
s'installent dans les espaces dégagés comme ici, sur un parcours de golf
en périphérie de Port-au-Prince. Plus de 500 camps de fortune de ce
type ont poussé depuis la catastrophe du 12 janvier.
Urgence alimentaire
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une distribution d'urgence de nourriture à Port-au-Prince.
Carrefour Feuilles
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26 janvier - L'organisation internationale non gouvernemental ACTED a
fourni de l'eau aux habitants de Tapis Rouge, non loin du quartier
de Carrefour Feuilles, au sud de Port-au-Prince. Dans ce bidonville
installé sur les montagnes qui entourent la ville, l'assistance a été
minime depuis le séisme.
Victimes anonymes
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27 janvier - Un cimetière aux sépultures anonymes dans une zone rurale
en dehors de Port-au-Prince. Dans l'urgence sanitaire, beaucoup de
victimes n'ont pas pu recevoir de funérailles formelles.
Rescapé
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28 janvier - Un homme âgé se repose dans l'hôpital de Jacmel, une ville
située au sud du pays. Il est l'un des milliers de Haïtiens qui ont
sollicité une aide médicale d'urgence après le séisme.
Les incendies
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29 janvier - Un homme sauve une caisse des flammes qui embrasent
Port-au-Prince. Depuis le séisme, plusieurs incendies se sont déclenchés
dans les ruines de la ville. Depuis le séisme, les habitants ont pris
l'habitude de brûler leurs ordures à même les rues.
Distribution de tentes
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dans le séisme attendent devant un stand où la Mission de Stabilisation
en Haiti leurs distribue des tentes.
Des tentes à perte de vue
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au golf et au tennis, 50 000 personnes réfugiées se sont installées sous
des abris ad hoc.
Visite médicale
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médecin rend visite à une femme enceinte sous sa tente installée sur le
stade de Port-au-Prince.
Bill Clinton en Haïti
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5 février - Bill Clinton, ancien président des Etats-Unis, est présent
en Haïti comme "envoyé spécial" des Nations Unis. Ici, il est assailli
par les reporters après sa rencontre avec le président René Préval à la
Direction Centrale de la Police Judiciaire où s'est installé
temporairement le gouvernement.
Le 12 janvier 2010, en fin de journée, un séïsme a ravagé Haïti,
l'un des pays les plus pauvres du monde. Une secousse de
magnitude 7 a touché l'île à 16h53 locales (21h53 GMT), à
seulement 15 km de la capitale surpeuplée, Port-au-Prince.
Après la catastrophe qui a causé de nombreux dégâts, des milliers
d'Haïtiens, n'ayant plus de toit pour dormir, ont été contraints de
passer la nuit dehors, parfois au milieu des cadavres et des décombres
qui jonchaient les rues de la capitale.
Dans la nuit du
12 au 13 janvier, les morts commençaient déjà à se compter par
centaines. Le bilan du drame atteint aujourd'hui les 217 000 morts
et 1,2 million de sans-abris. Très vite, l'aide internationale
s'est mise en place, transportant vivres, médicaments, installations
d'accès à l'eau et d'assainissement sur place pour tenter d'éviter
qu'une catastrophe sanitaire et humanitaire s'ajoute
aux nombreux de décès du tremblement de terre.
Une véritable catastrophe Humanitaire qui cette fois encore a déclenché un immense élan de solidarité.
» oui madame !
» ça pique !!!
» C’est mathématiquement, philosophiquement idiot !
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, la cocaïne était utilisée pour traiter la dépression et les maux de dents !
» gentil toutou
» oh oui !
» bon appétit
» Le saviez-vous?La reconnaissance de soi chez les animaux
» la méprise
» oh oui !
» la dictée
» Le saviez-vous?Le détenteur du record du monde de tir à l’arc n’a pas de bras !
» heureusement qu'elle est la !
» dessous de table !
» c'est très bien
» Le saviez-vous? La plus petite guitare du monde a la taille d’un globule rouge !
» affreux !!!
» le marque-pages
» merci du conseil
» Le saviez-vous?En 2008, une plage a été volée en Jamaïque, tout le sable a été dérobé !
» coooooool
» bonne question !
» chère Dr
» Le saviez-vous?Au 19ème siècle, en Grande-Bretagne, une tentative de suicide était punie par pendaison